Aide

• La visionneuse est compatible avec les navigateurs internet Mozilla Firefox, Internet Explorer (version supérieure à IE 10, certaines fonctionnalités ne fonctionnent pas avec les versions plus anciennes), Google Chrome,  Android Browser.
• Javascript doit être activé dans votre navigateur internet.

• Une page spécifique, disponible dans la rubrique "Participez", détaille le mode d'emploi de l'outil d'indexation disponible dans la visionneuse.
• En fonction du fonds mis en ligne, la fonction "Indexer un acte" n'est pas disponible.
  Pour accéder à cette fonction, l'utilisateur doit être préalablement authentifié sur le site internet

Consulter des documents numérisés, c’est bien, mais les partager avec sa communauté, c’est mieux. Les Archives départementales du Bas-Rhin vous proposent de partager un document numérisé à travers un lecteur exportable qu’il est possible d’intégrer facilement à n’importe quel site ou blog.

Voici donc les étapes à suivre pour configurer le lecteur exportable des Archives d'Alsace - site de Strasbourg :

• Ouvrir la visionneuse de document.
• Cliquer sur l'icône correspondant au lecteur exportable (voir la liste d'icône ci-dessous).
• Copier le code du lecteur indiqué dans la fenêtre pop-up.
• Editez les fichiers de votre site. (*)
• Coller le code du lecteur à l’endroit où vous voulez le faire apparaître.
• Enregistrez vos fichiers.
• C’est terminé !

N'oubliez pas le cas échéant de régler la sécurité de votre site ('X-Frame-Options') afin de permettre l'affichage de la page intégrée.

L’ensemble des registres paroissiaux et des registres d’état civil des communes du Bas-Rhin conservés est librement accessible en ligne, jusqu’en 1892 ou 1912 selon les localités, à l’adresse http://www.bas-rhin.fr/etat-civil :

• • La page d’accueil est formée par un formulaire de licence. La Collectivité européenne d'Alsace a en effet adopté un Règlement général sur la réutilisation des données publiques : 6 types de licences s’appliquent dès lors qu’il y a reproduction de documents, par les Archives départementales comme par un tiers. Dans le cas, de loin le plus courant, de consultation des images numériques accessibles gratuitement, pour un usage privé, sur le site internet des Archives, l’internaute souscrit obligatoirement, avant d’accéder aux images, qu’il est susceptible de reproduire chez lui sans regard des Archives, une licence simplifiée : il s’engage à ne pas rediffuser publiquement, notamment sur internet, les images ainsi mises à sa disposition. Ces conditions d’utilisation sont acceptées en cochant la case prévue à cet effet, en bas de page.
  • Une fois ces conditions acceptées, s’affichent deux choix : « accéder à la version graphique » (imagée et ergonomique, au format flash), « accéder à la version adaptée » (masque d’interrogation et tableaux de résultats dits « accessibles », au format html). La recherche sera plus agréable et plus aisée avec la version graphique.
  • L’accès à la version graphique et, quelle que soit la version retenue, aux images, nécessite l’installation sur votre poste de « Flash player ». Un « plug-in » Flash, c’est-à-dire un lien pour son téléchargement, gratuit et sans danger pour votre installation, est automatiquement proposé par Adeloch si la visionneuse Flash n’est pas présente sur votre ordinateur. Si les paramètres de sécurité de votre installation empêchent ce lien de s’afficher, il vous sera facile de trouver les sites dédiés à ce produit, en tapant « Adobe » « Macromedia » ou « Flash player » dans la barre d’adresse de votre moteur de recherche habituel.
  • La page qui s’affiche en second lieu est l’écran de choix de la commune : après avoir entré un nom, vous accédez à la série de registres virtuels correspondant : registres paroissiaux (BMS, pour « baptêmes », « mariages », « sépultures »), tables décennales (TD) repérables à leur couleur magenta (dos des registres et barre de la même teinte dans la frise chronologique), registres d’état civil (NMD, pour « naissance », « mariage », « décès »).
  • Le premier clic de sélection sur un registre affiche un éventuel champ d’observation, le second ouvre la série d’images.
  • La navigation au sein d’une série de registres, ainsi que parmi les vues d’un registre, se fait au moyen de flèches situées en bas à droite et à gauche de l’écran, activables au moyen du bouton gauche de la souris, ou, pour un déplacement plus rapide, en faisant glisser le curseur figurant sur la barre horizontale en bas d’écran.
  • L’onglet vert « retour », en haut d’écran, permet de revenir à l’étape précédente.
  • Un onglet « imprimer » permet de reproduire les actes en les annotant éventuellement au préalable (voir ci-dessous).

Les registres sont rangés, de façon générale, sous le nom usuel au début du XXe siècle (forme francisée) et, à défaut, dans le cas des paroisses et communes supprimées antérieurement, sous le dernier nom en usage.

Seule une trentaine de noms que l’on trouve dans les actes, mais qui n’étaient pas ou plus employés à la période de référence, a été maintenue dans la liste générale des communes. A la place d’une série de registres, l’écran qui s’ouvre lorsque l‘on sélectionne ces noms ne présente qu’un registre vide ou « fantôme » placé tout à gauche de l’écran (version graphique) ou en tête de tableau (version adaptée). La sélection de cet objet affiche le nom de commune retenu auquel se reporter.

Afin de ne pas surcharger la liste des communes, les variations de nom n’ont pas été prises en compte quand elles relèvent d’une déformation phonétique ou d’une variante orthographique aisément identifiable, ou ne bouleversant pas le classement alphabétique du toponyme (par exemple ö pour oe ou ü pour ue,
u pour ou, Sankt- pour Saint-, -weiler pour -willer, voire W pour V ou K initial pour C initial).

Une fiche d’aide à la lecture des actes, accessible ci-dessous au paragraphe 12, chapitre 6, comporte les principales références bibliographiques utiles à l’identification des lieux ainsi que deux tableaux de correspondance permettant d’identifier d’anciennes communes et certaines annexes.

Chaque commune dispose d’une fiche d’information qui s’ouvre et se ferme, dans la version graphique de l’application, en activant le bouton «informations» (i) situé en haut de chaque magasin virtuel, à gauche du nom de la commune. Dans la version adaptée, cette aide s’affiche automatiquement en tête de la liste des registres répondant au résultat sélectionné.

Les informations fournies concernent aussi bien les registres paroissiaux que les registres d’état civil, des données de géographie historique (annexes des paroisses, fusions de communes) que des précisions sur l’état de conservation des registres (pertes, destructions).

La fiche peut être vierge si aucune particularité n’a paru devoir être signalée.

Il existe trois façons de reproduire un acte en ligne :

• • Effectuer un tirage papier. Les références du document original figureront sur l’impression.
  • Effectuer une capture d’écran (touche « Impr écran » du clavier ou logiciel adapté).
  • Effectuer un clic-droit puis "Enregistrez-sous"
  • Générer un fichier PDF. A cette fin, il est nécessaire d’avoir au préalable installé sur le poste de consultation un logiciel adéquat : il vous sera facile de trouver des sites dédiés à ce type de produit en tapant « créer PDF » ou « convertir PDF » dans le champ d’interrogation de votre moteur de recherche habituel. Cette fonctionnalité sera alors accessible par le biais de l’onglet « imprimer » puis de la fenêtre d’impression s’ouvrant après activation du bouton « valider », en sélectionnant à ce niveau l’outil d’impression PDF installé. Les références du document original figureront dans le fichier généré.

La numérisation et la mise en ligne des registres des chapitres ruraux ne sont pas programmées à court ou moyen terme. Les Archives d'Alsace - site de Strasbourg ont en effet choisi de ne pas numériser cette source, quand bien même elle comble, ponctuellement et partiellement, les lacunes des registres paroissiaux mis en ligne.

De nombreux paramètres entrent en ligne de compte au-delà de la satisfaction immédiate des internautes : état de la collection originale et de la collection microfilmée, difficulté d’articulation avec les collections communales numérisées, faible nombre des lacunes comblées, faibles statistiques de communication, contraintes budgétaires, efforts portants sur d’autres sources à numériser, etc.

D’une manière générale, de nombreuses autres sources d’information susceptibles de « donner corps » à vos ancêtres ne seront jamais numérisées. Elles demeurent accessibles en salle de lecture, ouverte en continu du lundi au vendredi de 8 h 30 à 17 h 00, et où le meilleur accueil vous sera réservé. Vous y trouverez de multiples documents, au-delà des informations minimales constituées par l’état civil : recrutement militaire, dossiers d’instituteurs ou d’autres fonctionnaires, documents juridictionnels, Enregistrement, minutes de notaires, registres d’écrous, etc. La commande et la consultation de documents nécessitent d’être inscrit comme lecteur. L’inscription est gratuite et immédiate ; elle est réalisée sur simple présentation d’une pièce d’identité en cours de validité et portant une photographie. Les fermetures exceptionnelles des Archives sont indiquées sur le site internet disponible à l’adresse . 

Dans la grande majorité des cas, cette difficulté résulte d’une inattention de votre part, soit :

• • d’une erreur de lecture dans le quantième, le mois ou le millésime ;
  • d’une erreur dans le type d’acte : il y a en effet, en règle générale, dans chaque table décennale, trois séries alphabétiques successives, une pour chacun des types d’acte, « naissance », « mariage » et « décès ».

Le site de Strasbourg conserve les registres d’état civil du Bas-Rhin postérieurs à 1912 suivants :

• Arrondissement judiciaire de Colmar (communes du sud du Bas-Rhin) jusqu’en 1932 : https://archives.bas-rhin.fr/detail-document/LIGEO-1064718
•  Arrondissement judiciaire de Saverne jusqu’en 1942 : https://archives.bas-rhin.fr/detail-document/LIGEO-1075711
•  Arrondissement judiciaire de Strasbourg jusqu’en 1942 : https://archives.bas-rhin.fr/detail-document/LIGEO-1064717

Ces documents ne sont consultables qu’en salle de lecture de Strasbourg.

A noter : La totalité des tables décennales (même postérieures à 1912) conservées par le site de Strasbourg a été numérisé et est consultables en ligne.

La majorité des indexations et vues de la base (près de 60 %) a été systématiquement vérifiée. Les corrections nécessaires ont été apportées. Les lacunes constatées ou l’impossibilité d’améliorer la lecture, même par le recours aux originaux, ont également été indiquées (mentions « en déficit », « problème de lisibilité de l’original », etc.). La possibilité de jouer sur le contraste et d’agrandir les actes permet de rendre lisible à l’écran – et régulièrement plus nettement que sur les originaux – la plupart des vues relativement pâles.

Des anomalies (vues manquantes, désordres) ou problèmes de lecture (vues trop pâles, trop sombres, floues) peuvent cependant subsister, en dépit du soin qui a été apporté au projet, et les Archives d'Alsace - site de Strasbourg sont attentives aux améliorations qu’elles pourront apporter à l’application. Elles souhaitent donc recueillir le plus systématiquement possible les difficultés rencontrées.

L’onglet « contact » permet de signaler ces difficultés, émettre un avis, contribuer à l’amélioration de la base. Les messages envoyés par ce biais parviennent sur la messagerie des Archives d'Alsace. Veuillez l’utiliser en fournissant les informations les plus précises : commune, année, type d’acte, feuillet ou numéro de l’acte concerné par votre remarque. Les demandes seront  traitées dans un délai de 15 jours et les réponses adressées, par défaut, à l’adresse d’envoi de votre message électronique ; si vous souhaitez une réponse à une autre adresse, veuillez l’indiquer clairement dans le corps de votre message.

Si l’original n’est pas conservé aux Archives d'Alsace (mention « original en mairie »), les Archives d'Alsace - site de Strasbourg ne seront toutefois pas en mesure de corriger l’anomalie à court ou moyen terme : il faudra vous adresser en commune.

Pour toute demande dérogatoire de consultation des originaux – qui ne pourra être motivée que par l’insuffisance du support de substitution, rester exceptionnelle et limitée à une consultation unique ou limitée dans le temps – veuillez utiliser le même formulaire.

Pour toute autre demande d’aide, avant d’utiliser l’onglet « contact », veuillez vous assurer que la réponse à votre question ne figure pas dans la présente aide et noter que les Archives d'Alsace, qui reçoivent et traitent quotidiennement un nombre très important de demandes de recherche, ne peuvent notamment pas, pour des raisons matérielles, rendre aux usagers les services suivants :

• • diagnostic de votre installation informatique : si les indications du paragraphe 1 de la présente aide ne vous permettent pas de résoudre vos difficultés d’accès, veuillez vous adresser à votre fournisseur d’accès ou à un informaticien ayant physiquement accès à votre poste ;
  • recherche d’actes en particulier : les Archives d'Alsace privilégieront dans leur réponse les aspects méthodologiques, accessibles dans la présente aide au paragraphe 12.
  • transcription et traduction des actes en ligne : une fiche d’aide à la lecture des actes figure ci-dessous au paragraphe 12, chapitre 6.

Les Archives d'Alsace vous autorisent à réutiliser librement les images de ce site, à condition que vous vous engagiez expressément à :

• • Respecter les dispositions de la licence gratuite que vous trouverez en suivant ce lien.
  • Citer systématiquement, de façon visible, et quel que soit l’usage que vous souhaitez faire des informations :
    
    • les auteurs des textes réutilisés s’il y en a (par exemple pour les fiches d’aide à la recherche) ;
    • les Archives d'Alsace comme lieu de conservation du document ;
    • la cote des documents (qui est toujours indiquée à proximité des images).

Si vous souhaitez obtenir plus de renseignements sur les recherches généalogiques et découvrir les sources annexes qui peuvent être utiles à vos recherches, vous pouvez consulter la rubrique d'aide à la recherche Famille et généalogie.

Configuration minimale requise :

• • connexion permettant le téléchargement de pages d’un poids nettement supérieur aux pages html standard (500 à 700 ko en moyenne, ADSL recommandé).
  • navigateur équivalent ou supérieur à Internet Explorer v 9 , Firefox v 3.5, Safari v 4.

L’ensemble des listes nominatives de population des communes du Bas-Rhin établies entre 1819 et 1885 est librement accessible en ligne à l’adresse : /recensements-population/.

• • La consultation des registres numérisés est soumise à l'acceptation du formulaire de licence. La Collectivité européenne d'Alsace a en effet adopté un Règlement général sur la réutilisation des données publiques : 6 types de licences s’appliquent dès lors qu’il y a reproduction de documents, par les Archives départementales comme par un tiers. Dans le cas, de loin le plus courant, de consultation des images numériques accessibles gratuitement, pour un usage privé, sur le site internet des Archives, l’internaute souscrit obligatoirement, avant d’accéder aux images, qu’il est susceptible de reproduire chez lui sans regard des Archives, une licence simplifiée : il s’engage à ne pas rediffuser publiquement, notamment sur internet, les images ainsi mises à sa disposition. Ces conditions d’utilisation sont acceptées en cochant la case prévue à cet effet, en bas de page.
  • La page qui s’affiche en second lieu est l’écran de choix de la commune : après avoir saisi un nom, vous accédez au rayonnage virtuel correspondant, où les cartons sont rangés par ordre chronologique des recensements (version graphique)
  • Un premier clic de sélection sur un carton affiche un éventuel champ d’observation, le second ouvre la série d’images.
  • Les cartons pâles, ou « fantômes », marqués « En déficit » signalent une lacune (documents définitivement manquants aux Archives d'Alsace - site de Strasbourg). Ceux marqués « Non numérisé » renvoient à un original à consulter en salle de lecture.
  • La navigation au sein d’une série de cartons, ainsi que parmi les vues d’un carton, se fait grâce aux flèches situées en bas à droite et à gauche de l’écran, activables au moyen du bouton gauche de la souris, ou, pour un déplacement plus rapide, en faisant glisser le curseur figurant sur la barre horizontale en bas d’écran.
  • L’onglet « Retour », en haut d’écran, permet de revenir à l’étape précédente.
  • Un onglet « Imprimer » permet de reproduire les actes en les annotant éventuellement au préalable (voir ci-dessous).
  • Chaque commune dispose d’une fiche d’information qui s’ouvre et se ferme, en activant le bouton « Informations » (i) situé en haut de chaque rayonnage virtuel, à gauche du nom de la commune. Les informations fournies concernent aussi bien des données de géographie historique (fusions de communes, répartition des quartiers d’une ville) que des précisions sur l’état de conservation des listes (pertes, destructions). La fiche peut être vierge si aucune particularité n’a paru devoir être signalée.

Il existe trois façons de reproduire une liste nominative de population en ligne :

• • Effectuer un tirage papier.  Les références du document original figureront sur l’impression.
  • Effectuer un "clic-droit" à l'aide de la souris puis Enregistrez-sous.
  • Effectuer une capture d'écran (touche « Impr écran » du clavier ou logiciel adapté).
  • Générer un fichier PDF. A cette fin, il est nécessaire d’avoir au préalable installé sur le poste de consultation un logiciel adéquat : il vous sera facile de trouver des sites dédiés à ce type de produit en tapant « créer PDF » ou « convertir PDF » dans le champ d’interrogation de votre moteur de recherche habituel. Cette fonctionnalité sera alors accessible par le biais de l’onglet « Imprimer » puis de la fenêtre d’impression s’ouvrant après activation du bouton « Valider », en sélectionnant à ce niveau l’outil d’impression PDF installé. Les références du document original figureront dans le fichier généré.

Les reproductions sont faites par les internautes aux termes et conditions de la « licence clic » acceptés lors de l’entrée dans l’application.

Une part significative des indexations et vues de la base (environ 30 %) a été systématiquement vérifiée. Les corrections nécessaires ont été apportées. Les lacunes constatées ou l’impossibilité d’améliorer la lecture, même par le recours aux originaux, ont également été indiquées (mentions « En déficit », « Problème de lisibilité de l’original », etc.). La possibilité de jouer sur le contraste et d’agrandir les vues permet de rendre lisible à l’écran – et régulièrement plus nettement que sur les originaux – la plupart des images pâles.

Des anomalies (vues manquantes, désordres) ou problèmes de lecture (vues trop pâles, trop sombres, floues) peuvent cependant subsister, en dépit du soin qui a été apporté au projet, et les Archives d'Alsace - site de Strasbourg sont attentives aux améliorations qu’elles pourront apporter à l’application. Elles souhaitent donc recueillir le plus systématiquement possible les difficultés rencontrées.

L'icône enveloppe permet de signaler ces difficultés, émettre un avis, contribuer à l’amélioration de la base. Les messages envoyés par ce biais parviennent sur la messagerie des Archives d'Alsace - site de Strasbourg. Les demandes seront traitées dans un délai de 15 jours et les réponses adressées, par défaut, à l’adresse d’envoi de votre message électronique ; si vous souhaitez une réponse à une autre adresse, veuillez l’indiquer clairement dans le corps de votre message.

Pour toute demande dérogatoire de consultation des originaux – qui ne pourra être motivée que par l’insuffisance du support de substitution, rester exceptionnelle et limitée à une consultation unique ou limitée dans le temps – veuillez utiliser le même formulaire.

Pour toute autre demande d’aide, veuillez vous assurer, avant d’utiliser cette fonctionnalité, que la réponse à votre question ne figure pas dans la présente aide et noter que les Archives d'Alsace, qui reçoivent et traitent quotidiennement un nombre très important de demandes de recherche, ne peuvent notamment pas, pour des raisons matérielles, rendre aux usagers les services suivants :

• • diagnostic de votre installation informatique : si les indications du paragraphe 1 de la présente aide ne vous permettent pas de résoudre vos difficultés d’accès, veuillez vous adresser à votre fournisseur d’accès ou à un informaticien ayant physiquement accès à votre poste ;
  • recherche d’individus en particulier : les Archives d'Alsace privilégieront dans leur réponse les aspects méthodologiques, dont les principaux sont accessibles dans la présente aide aux paragraphes 7 à 13 ;
  • transcription ou confirmation de lecture des listes en ligne lorsque la qualité de la numérisation n’est pas en cause.

Configuration minimale requise :

• • connexion permettant le téléchargement de pages d’un poids nettement supérieur aux pages html standard (500 à 700 ko en moyenne, ADSL recommandé) ;
  • navigateur équivalent ou supérieur à Internet Explorer v 9, Firefox v 3.5, Safari v 4 ;

L’application s’adapte aux résolutions d’affichage courantes.

Les listes sont rangées, de façon générale, sous les noms de commune usuels au XIXe siècle (figurant dans les documents numérisés). Des communes renommées ou de création plus récente, résultant de distractions ou de fusions de territoire, sont ainsi absentes d’Ellenbach, ou n’y figurent que pour permettre un renvoi :

De façon plus générale, vous trouverez toutes les informations nécessaires sur la topographie et l’histoire des communes dans les ouvrages suivants, notamment librement accessibles, comme usuels, en salle de lecture des Archives d'Alsace - site de Strasbourg :

KINTZ (J.-P.), Paroisses et communes de France : dictionnaire d’histoire administrative et démographique. Bas-Rhin, Paris, EHESS, 1977. [voir en particulier le chapitre IV, Dénombrements à l’époque contemporaine, p. 25-32]

Statistischen Bureau des Ministeriums für Elsass-Lothringen, Das Reichsland Elsass-Lothrigen. Dritter Theil : Ortsbeschreibung, Strasbourg, Heitz et Mündel, 1901-1903.

Collectif, Encyclopédie de l’Alsace, Strasbourg, Publitotal, 1982-1986, 12 vol. et 1 vol. d’index, Strasbourg, Lettrimage, 1993.

Parmi les ouvrages aujourd’hui libres de droit et accessibles à distance, les Archives départementales du Bas-Rhin ont sélectionné à titre d’outils trois annuaires contemporains des listes nominatives mises en ligne, en début, milieu et fin de période (1816, 1842 et 1867), ainsi qu’un dictionnaire topographique, historique et statistique également contemporain (1865).

Vous trouverez ces ouvrages au format *.pdf sous les liens ci-dessous. Les fichiers, comportant plusieurs centaines de pages, sont volumineux (10 à 12 Mo pour les annuaires et près de 40 Mo pour le dictionnaire). Leur téléchargement peut ainsi prendre jusqu’à 5 minutes. Leur consultation est ensuite plus facile et agréable en choisissant un affichage en double-page.

Annuaire du Bas-Rhin, 1816. – Annuaire historique et statistique du département du Bas-Rhin pour les années 1814, 1815 et 1816, par P. J. Fargès-Méricourt, Strasbourg, Levrault, 1816, x-324 p.

Statistique démographique, p. 26-98. – Géographie physique et économique du département, p. 99-163. – Tableau des foires, p. 162-170. – Statistique relative à l’assistance et à la santé publique, p. 176-194 ; à la fiscalité, p. 195-201. – Nomenclature des administrations locales : civiles, p. 221-232 ; militaires, p. 233-242 ; judiciaires (officiers ministériels compris), p. 243-256 ; financières, p. 257-266 ; commerciales, p. 267-269 ; religieuses, p. 269-275 ; relevant de l’instruction publique, p. 275-286 ; de bienfaisance et de santé, p. 287-296. – Tableau des maires, p. 297-303.

Table alphabétique des matières, p. ix-x.

Ouvrage conservé à la Bayerische Staatsbibliothek München, numérisé par Google.

Annuaire du Bas-Rhin, 1842. – Annuaire du département du Bas-Rhin, année 1842, Strasbourg, Levrault, 1842, 320 p.

Description par arrondissement et par canton, avec choix de notices communales*, p. 26-139. – Division et organisation politique, p. 140-164. – Tableau des maires, ministres du culte, percepteurs et population par commune, p. 165-200. – Organisation municipale de Strasbourg, p. 201-205. – Nomenclature des administrations locales : de police, p. 205 ; des travaux publics, p. 206 ; de bienfaisance et de santé, p. 207-218 ; commerciales, vétérinaires, civiles, p. 218-252 ; religieuses, p. 253-269 ; militaires, p. 270-285 ; judiciaires (officiers ministériels compris), p. 286-310 ; financières, p. 311-336 ; relevant de l’instruction publique, p. 337-359. – Assurances et mutuelles, p. 359-370. – Tableau des foires, p. 372-376.

Table alphabétique des matières, non paginée, en fin d’ouvrage.

* Publication partielle, 90 communes ayant été abordées dans les annuaires des années précédentes. Sont traitées dans ce volume, par ordre de lecture : Imbsheim, Obermodern, Weinbourg, Asswiller, Diedendorf, Ettendorf, Petersbach, Baldenheim, Wittisheim, Niedernai, Valff, Kintzheim, Breitenbach, Scherwiller, Fegersheim, Berstheim, Niederschaeffolsheim, Altorf, Avolsheim, Wolxheim, Fessenheim, Ittlenheim, Wangen, Niederlauterbach, Mothern, Niederroedern et Cleebourg.

Ouvrage conservé à la Parsons Library, University of Michigan, numérisé par Google.

Annuaire du Bas-Rhin, 1867. – Annuaire du Bas-Rhin publié sous les hospices de M. le baron Pron, préfet du département, par Etienne Huault, chef de division honoraire à la Préfecture, année 1867, Strasbourg, Berger-Levrault, 1867, 526 p.

Administration départementale, p. 117-138. – Cultes, p. 139-160. – Organisation judiciaire, p. 161-187. – Organisation militaire, p. 188-200. – Instruction publique, p. 201-218. – Télégraphie, p. 219-230. – Finances, p. 231-274. – Travaux publics, p. 275-286. – Assistance publique, p. 287-305. – Prisons et établissements pénitentiaires, p. 306-320. – Organisation municipale de Strasbourg, p. 321-329. – Établissements de prévoyance, p. 330-343. – Agriculture, p. 344-355. – Commerce et industrie (tableau des foires compris), p. 356-363. – Bibliothèques, musées, etc., p. 364-371. – Littérature, sciences et arts, p. 372-382. – Tableau des maires, ministres du culte, instituteurs et population par commune*, p. 401-443. – Tableau de renvoi des écarts et annexes vers leur commune d’appartenance, p. 468-481.

Table analytique, p. 507-514 et table alphabétique des matières, p. 515-526.

* Données en parties altérées (reliure trop serrée).

Ouvrage conservé à la Bayerische Staatsbibliothek München, numérisé par Google.

Dictionnaire topographique, historique et statistique de Jacques Paquol (3e éd. refondue, 1865). – L’Alsace ancienne et moderne ou dictionnaire topographique, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin, 3e éd. entièrement refondue par P. Ristelhuber, Strasbourg, Salomon, 1865, 642 p. et planches*.

Les entrées Andlau, Barr, Bischwiller, Bouxwiller, Breitenbach, Buhl, Châtenois, Erstein, Eschbourg, Haguenau, Herbitzheim, Hipsheim, Hochfelden, Ittenheim, Lipsheim, Marckolsheim, Monswiller, Neuwiller, Niederbetschdorf, Obermodern, La Petite-Pierre, Pfaffenhoffen, Rhin (dép. du Bas-), Rhône-au-Rhin (canal du), Saarwerden, Saverne, Wangenbourg et Wissembourg font l’objet d’additions et corrections p. 640-642.

* Le texte est complet mais des erreurs de numérisation affectent les planches en fin de volume.

Ouvrage conservé à la Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne, numérisé par Google. Les deux premières éditions, à Strasbourg, chez l’auteur, datent de 1849 et 1851 ; elles sont également numérisées et accessibles en ligne.

Ellenbach ne comporte actuellement pas de volet cartographique. Complémentairement aux références bibliographiques précédemment citées, les ressources en ligne suivantes pourront s’avérer utiles pour localiser une commune ou tout autre toponyme.

Un riche portail de données cartographiques, issu de la collaboration entre le Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement, l’Institut géographique national (IGN) et le Bureau des recherches géologiques et minières (BRGM), est accessible à l’adresse www.geoportail.fr/.

À partir du planisphère central de la page d’accueil (en cliquant sur « France métropolitaine », puis en vous orientant sur la carte de France miniature en bas à droite de l’écran) ou à partir des pavés dédiés, sur la même page d’accueil, à droite de l’écran, vous pouvez notamment accéder aux cartes de Cassini (XVIIIe s.), aux minutes des cartes d’état-major au 1/40 000e (XIXe s.), à des plans de ville contemporains pourvus des noms de rues, etc. Ces différentes couches peuvent être superposées en les sélectionnant ensemble dans le sommaire figurant à gauche de l’écran et en jouant sur leur opacité.

Un autre site, réalisé à l’initiative de quatre partenaires scientifiques, l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), la Bibliothèque nationale de France (BNF), le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et l’Institut national d'études démographiques (INED), est accessible à l’adresse http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/index.htm. Ce site utilise de nombreuses fenêtres pop-up, dont il vous faut préalablement autoriser l'ouverture. Vous y trouverez :

• • une base de données communales, accessible par le biais de l’onglet « Index » ou par ce lien : http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/6_index.htm (choisir « Index par département » dans la colonne de gauche puis « 67 » pour accéder à la liste alphabétique des communes du Bas-Rhin). La sélection d’un nom de commune permet de consulter une fiche, exportable et imprimable, comprenant des données géographiques, historiques, administratives et démographiques de l’an II (1793) à 2006. La structure de la fiche n’a pas été adaptée au cas alsacien pour la période 1871-1919 et les données historiques sont toujours en cours de consolidation (informations sur la période antérieure à 1793 notamment non saisies). En dépit de sa facilité d’accès et de ses avantages, cette base ne remplace donc pas la consultation de l’ouvrage précité de J.-P. Kintz, Paroisses et communes de France : dictionnaire d’histoire administrative et démographique. Bas-Rhin, Paris, EHESS, 1977 (usuel consultable en salle de lecture des Archives départementales du Bas-Rhin) ;
  • une application cartographique fondée sur la carte de Cassini (XVIIIe s.), accessible par le biais de l’onglet « Navigation » ou par ce lien : http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/1_navigation.php. Les limites des départements, arrondissements, cantons et communes actuels peuvent être superposées sur cette carte, dont les vues originales ou retravaillées par l’internaute sont imprimables et téléchargeables.

Enfin, des cartes historiques, dont des plans du cadastre allemand imprimés, sont accessibles sur le site de la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg : http://www.bnu.fr. Sur la page d’accueil, sélectionnez en haut d’écran l’onglet « Images & cartes » et interrogez par nom de lieu ou mots-matières. Les notices et images miniatures de la liste de résultats qui apparaissent dans une nouvelle fenêtre s’affichent en plein écran après leur sélection individuelle. Une interrogation spécifique est également possible à partir de ce lien :

www.bnu.fr/collections/la-bibliotheque-numerique/les-cartes-alsace.

Dans le cas particulier de Strasbourg, en dépit des transformations de la ville et du changement de dénomination de certaines voies, et en complément des ressources précédemment citées, les plans interactifs suivants pourront être utiles :

www.sig-strasbourg.net/plan/index.php

www.plan-strasbourg.com

On se reportera encore avec profit au Dictionnaire historique des rues de Strasbourg de M. Moszberger, T. Rieger et L. Daul, Illkirch-Graffenstaden, Le Verger éditeur, 2002 (usuel consultable en salle de lecture des Archives d'Alsace - site de Strasbourg).

Un dépouillement exhaustif des listes nominatives de population de Strasbourg, année par année, canton par canton et rue par rue, a été réalisé par les Archives d'Alsace - site de Strasbourg. Un index alphabétique complet des rues de la ville, avec renvoi aux cantons d’appartenance, est placé en tête du rayonnage virtuel de la ville (premier registre). Il est accompagné d’un plan de situation (second registre). En tête de la série d’images de chaque carton virtuel se trouve la liste des rues concernées, par ordre topographique de recensement d’abord, puis par ordre alphabétique.

Ces documents sont également disponibles, pour impression ou téléchargement, au format *.pdf pour les index et au format *.jpeg pour le plan, sous ces liens :

• • Index alphabétique des rues de Strasbourg, avec canton d’appartenance
  • Cantons et rues de Strasbourg en 1836
  • Cantons et rues de Strasbourg en 1838
  • Cantons et rues de Strasbourg en 1841
  • Cantons et rues de Strasbourg en 1846
  • Cantons et rues de Strasbourg en 1856
  • Cantons et rues de Strasbourg en 1861
  • Cantons et rues de Strasbourg en 1866
  • Plan de Strasbourg, avec figuration des cantons nord, sud, est et ouest

Un document décrivant précisément, année par année, les listes nominatives de population dressées dans le Bas-Rhin au XIXe siècle, en permettant ainsi une approche critique et une exploitation plus fine, est accessible sous ce lien au format *.pdf :

Listes nominatives de population du Bas-Rhin au XIXe siècle : contexte de production et données recueillies

Pour obtenir plus de renseignements sur les dénombrements et recensements de population en Basse-Alsace et dans le Bas-Rhin du Moyen Âge à nos jours et découvrir les sources complémentaires pouvant être utiles à vos recherches, veuillez consulter la page suivante du site des Archives d'Alsace, réalisée antérieurement et indépendamment de l'application pour  les recensements de population en 2009 :

Faire des recherches au sein des dénombrements et des recensements

Au-delà de 1885, il n’existe dans le Bas-Rhin, pour la première moitié du XXe siècle, aucune série organique de listes nominatives avant les recensements de 1936 (versement 364 D) et 1946 (versement 426 D). Pour les dénombrements plus récents sont conservés, mais ne couvrant pas toutes les communes, les bordereaux de ménage et listes nominatives du recensement de 1954 (versement 559 D), et une partie des archives produites dans le cadre des recensements de 1962, 1968 et 1975 (versements 560 D, 561 D et 1912 W notamment).

Le délai de libre communicabilité des listes nominatives de population est de 75 ans. Par dérogation au Code du patrimoine et en application de l’article 6 de la loi du 7 juin 1951 relative à l'obligation, la coordination et le secret en matière de statistiques, peuvent cependant être librement consultées, aux seules fins de statistique publique ou de recherche scientifique ou historique, les listes nominatives établies à l'occasion des recensements généraux de la population depuis 1936 jusque 1975 (arrêté, en date du 4 décembre 2009, paru au Journal Officiel n°288, page 21505 - NOR: MCCC0925768A).

Au-delà des listes nominatives aujourd’hui numérisées et mises en ligne, seules sont consultables actuellement, en salle de lecture des Archives départementales du Bas-Rhin, les listes nominatives des recensements de 1936, 1946, 1962 et 1968. Conformément aux recommandations de la Commission nationale Informatique et Liberté (CNIL), s’agissant de données nominatives concernant des personnes vivantes, la mise en ligne des documents de moins de 100 ans n’est pas envisagée à ce jour.

D’une manière générale, de nombreuses autres sources d’information susceptibles de « donner corps » à vos ancêtres ne seront jamais numérisées. Elles demeurent accessibles en salle de lecture, ouverte en continu du lundi au vendredi de 8h30 à 17h00, et où le meilleur accueil vous sera réservé. Vous y trouverez de multiples documents, au-delà des informations minimales constituées par l’état civil : recrutement militaire, dossiers d’instituteurs ou d’autres fonctionnaires, documents juridictionnels, Enregistrement, minutes de notaires, registres d’écrou, etc. La commande et la consultation de documents nécessitent d’être inscrit comme lecteur. L’inscription est gratuite et immédiate ; elle est réalisée sur simple présentation d’une pièce d’identité en cours de validité et portant une photographie. Les fermetures exceptionnelles des Archives sont indiquées sur le site Internet disponible à l’adresse .

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